"Fast car" is kind of a continuation of Bruce Springsteen's "Born to Run." It has all the clawing your way to a better life, but in this case the protagonist never makes it with her love; in fact she is dragged back down by him.
There is still an amazing amount of hope and will in the lyrics; and the lyrics themselve rank and easy five. If only music was stronger it would be one of those great radio songs that you hear once a week 20 years after it was released. The imagery is almost tear-jerking ("City lights lay out before us", "Speeds so fast felt like I was drunk"), and the idea of starting from nothing and just driving and working and denigrating yourself for a chance at being just above poverty, then losing in the end is just painful and inspiring at the same time.
Vers les docks où le poids et l'ennui me courbent le dos
Ils arrivent, le ventre alourdi de fruits, les bateaux
Ils viennent du bout du monde, apportant avec eux des idées vagabondes
Aux reflets de ciels bleus, de mirages
Traînant un parfum poivré de pays inconnus, et d'éternels étés
Où l'on vit presque nus sur les plages
Moi qui n'ai connu toute ma vie que le ciel du nord
J'aimerais débarbouiller ce gris en virant de bord
Emmenez-moi au bout de la terre, emmenez-moi au pays des merveilles
Il me semble que la misère, serait moins pénible au soleil
Dans les bars à la tombée du jour avec les marins
Quand on parle de filles et d'amour, un verre à la main
Je perds la notion des choses, et soudain, ma pensée
M'enlève et me dépose un merveilleux été sur la grève
Où je vois, tendant les bras
L'amour, qui comme un fou, court au devant de moi
Et je me pends au cou de mon rêve
Quand les bars ferment, que les marins rejoignent leur bord
Moi, je rêve encore jusqu'au matin, debout sur le port
Emmenez-moi au bout de la terre, emmenez-moi au pays des merveilles
Il me semble que la misère, serait moins pénible au soleil
Un beau jour sur un rafiot craquant, de la coque au pont
Pour partir, je travaillerais dans la soute à charbon
Prenant la route qui mène à mes rêves d'enfant
Sur des îles lointaines où rien n'est important que de vivre
Où les filles alanguies vous ravissent le cœur
En tressant m'a-t'on dit de ces colliers de fleurs qui enivrent
Je fuirais, laissant là, mon passé, sans aucun remords
Sans bagage, et le cœur libéré, en chantant très fort
Emmenez-moi au bout de la terre, emmenez-moi au pays des merveilles
Il me semble que la misère, serait moins pénible au soleil
Emmenez-moi au bout de la terre, emmenez-moi au pays des merveilles
Il me semble que la misère, serait moins pénible au soleil
La-la-la-la-la-la-la-la-la
Ils arrivent, le ventre alourdi de fruits, les bateaux
Ils viennent du bout du monde, apportant avec eux des idées vagabondes
Aux reflets de ciels bleus, de mirages
Traînant un parfum poivré de pays inconnus, et d'éternels étés
Où l'on vit presque nus sur les plages
Moi qui n'ai connu toute ma vie que le ciel du nord
J'aimerais débarbouiller ce gris en virant de bord
Emmenez-moi au bout de la terre, emmenez-moi au pays des merveilles
Il me semble que la misère, serait moins pénible au soleil
Dans les bars à la tombée du jour avec les marins
Quand on parle de filles et d'amour, un verre à la main
Je perds la notion des choses, et soudain, ma pensée
M'enlève et me dépose un merveilleux été sur la grève
Où je vois, tendant les bras
L'amour, qui comme un fou, court au devant de moi
Et je me pends au cou de mon rêve
Quand les bars ferment, que les marins rejoignent leur bord
Moi, je rêve encore jusqu'au matin, debout sur le port
Emmenez-moi au bout de la terre, emmenez-moi au pays des merveilles
Il me semble que la misère, serait moins pénible au soleil
Un beau jour sur un rafiot craquant, de la coque au pont
Pour partir, je travaillerais dans la soute à charbon
Prenant la route qui mène à mes rêves d'enfant
Sur des îles lointaines où rien n'est important que de vivre
Où les filles alanguies vous ravissent le cœur
En tressant m'a-t'on dit de ces colliers de fleurs qui enivrent
Je fuirais, laissant là, mon passé, sans aucun remords
Sans bagage, et le cœur libéré, en chantant très fort
Emmenez-moi au bout de la terre, emmenez-moi au pays des merveilles
Il me semble que la misère, serait moins pénible au soleil
Emmenez-moi au bout de la terre, emmenez-moi au pays des merveilles
Il me semble que la misère, serait moins pénible au soleil
La-la-la-la-la-la-la-la-la
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Same ideas expressed in Fitter, Happier are expressed in this song. We're told to strive for some sort of ideal life, which includes getting a good job, being kind to everyone, finding a partner, getting married, having a couple kids, living in a quiet neighborhood in a nice big house, etc. But in Fitter, Happier the narrator(?) realizes that it's incredibly robotic to live this life. People are being used by those in power "like a pig in a cage on antibiotics"--being pacified with things like new phones and cool gadgets and houses while being sucked dry. On No Surprises, the narrator is realizing how this life is killing him slowly. In the video, his helmet is slowly filling up with water, drowning him. But he's so complacent with it. This is a good summary of the song. This boring, "perfect" life foisted upon us by some higher powers (not spiritual, but political, economic, etc. politicians and businessmen, perhaps) is not the way to live. But there is seemingly no way out but death. He'd rather die peacefully right now than live in this cage. While our lives are often shielded, we're in our own protective bubbles, or protective helmets like the one Thom wears, if we look a little harder we can see all the corruption, lies, manipulation, etc. that is going on in the world, often run by huge yet nearly invisible organizations, corporations, and 'leaders'. It's a very hopeless song because it reflects real life.
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he's dreaming about leaving.
the translation of "Emmenez-moi au bout de la terre Emmenez-moi au pays des merveilles Il me semble que la misère Serait moins pénible au soleil." is something like "Bring me to the end of the world, Bring me to wonderland, it seems to me that misery would be easier (less painful) under the sun"
Did you understand ALL the song? :D :D ;)